– Ballons en latex, rubans de satin –
Cette installation ludique prétend établir une continuité physique entre la structure du plafond et l’utilisateur.
Dans chaque alvéole du plafond est logé un ballon auquel est attaché un ruban. Ce ruban est à portée de main, amenant le visiteur à lever les yeux vers la dalle alvéolaire et invite ce dernier à déplacer les ballons d’alvéole en alvéole.
L’ensemble des rubans créé un volume, une nappe qui va se déplacer au gré des courants d’air sous la dalle qui se situe à 393 cm du sol.
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H 325
– Peinture de sol –
Cette installation cherche à transférer au sol sous la forme d’un aplat coloré l’information présente au plafond sous une forme tridimensionnelle.
Elle établie un lien visuel et spatial entre le sol et le plafond sur une surface donnée, mettant en valeur l’unité de construction de la dalle alvéolaire situé 325 cm au dessus du sol.
Né en Corée, E Hyunjoon étudie l’art tout d’abord à Séoul, puis à Nottingham et Londres en échange universitaire.
Se spécialisant très tôt dans la sculpture, son style prend sa source en Europe, mais également en Asie, où il réside. Alternant les expositions entre Londres et Séoul, cet artiste affirme son style moderne et décalé. Détournant des objets du commun ou s’inspirant des graffitis, E Hyunjoon ne cache pas son côté urbain. Récemment, on peut assister à un retour aux traditions, aux mises en scène d’animaux, en particulier le chien, animal qui lui est très cher et qu’on retrouve souvent dans ses réalisations.
Né en 1983 à Buenos Aires, Santiago O Rey étudie tout d’abord la littérature à l’Université de Buenos Aires de 2002 à 2005, avant de se tourner vers les arts visuels à l’IUNA spécialisation peintures, de 2006 à 2009. Depuis 2011, il participe à la Clinique des Oeuvres coordonnée par Diana Aisenberg
Parmi les expositions auxquelles il a participé, on dénombre « El complot de la cosas amables » (2011) et «Monos Chromos» (2012) sur « la Isla Flotante ». En 2013, il réalise sa première exposition individuelle « Los días en el mar no cuentan » (Les jours en mer ne comptent pas) sur « la Isla Flotante » également. L’année suivante, il participe à la résidence d’artistes « Siete artistas, siete puntos de vista » dans la Ville des artistes de Cordoue et à l’exposition « Mecánico de día » avec Alexis Minkiewicz au Zavaleta Lab. En 2015, il réalise plusieurs oeuvres publiques en coordination avec la ville de Buenos Aires et le « Museo de la Ene ».
La diversité culturelle est, comme on peut le voir dans ses oeuvres, un thème cher à Santiago, de même que le détournement d’icônes populaires. Cet artiste engagé voyage au-delà des frontières afin de trouver les inspirations qui lui correspondent, internationales.
Laurent Bosio a été formé aux Beaux-arts en 1981, dans l’école municipale d’arts plastiques et l’école nationale des arts décos à Nice. Dès ses premières expositions, son travail s’inscrit dans les cercles symboliques des arènes (tauromachie, football américain, Formule 1) où se confrontent puissance et force
homme, animal et mécanique.
Son rapport à la nature s’affirme à travers l’arbre mythique du bassin méditerranéen qu’est l’olivier et en particulier la vision de ses racines, puis à travers l’arbre mythique du Japon, le bonsaï.
Les forces telluriques, le cycle des origines (fertilité / fécondité), le fascinent.
Ainsi, l’artiste donne naissance à un monde peuplé de créatures imaginaires et de découvertes au cœur de ces structures, de ces écorces ou dans la distorsion d’une amorce de tronc. Depuis, il ne cesse d’explorer l’espace onirique où ses créatures généreuses révèlent la dualité de notre société contemporaine : union de l’homme et de la machine, mutation forcenée de la vie.
Laurent Bosio ou le bonheur de peindre, de manier la couleur, le crayon, le fusain, de pétrir la terre, tordre le métal.
Antonio Fiorentino est né à Barletta en 1987. En 2013, il est invité au CSAV Laboratoire de recherche artistique à la Fondation Antonio Ratti.
Il a reçu plusieurs prix en tant qu’artiste émergent, parmi lesquels figure le Prix Talent de Rome (2015) et est invité à participer à différentes expositions en Italie et à l’étranger : The Lasting, La Galleria Nazionale, Rome (2016); Ride the Falling Flux, HIAP Gallery Augusta, Helsinki (2014); From&To, Centre d’art contemporain de la Villa Arson, Nice (2014) Concrete Ghost, American Academy in Rome (2014); CSAV, Fondazione Antonio Ratti, Como (2013); Underneath the Street, the Beach, Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Turin (2012).
La recherche d’Antonio ces dernières années est placée sous le signe de l’intervention minimale. L’artiste souhaitait amener l’art à la nature, pour trouver la valeur dans les choses qui existent déjà, avec un effet minimal, limité, pour les isoler et, en un sens, les encadrer.
Ce qui intéresse particulièrement Antonio Fiorentino, ce sont les situations de transformations, ces procédés naturels qui affectent les formes et les visions à travers le changement.
Fiorentino maintient une relation forte avec l’Histoire et la mythologie entourant la figure de « l’alchimiste / scientifique », en essayant d’utiliser cette attitude dans le contexte contemporain.
Le résultat est souvent d’un grand impact visuel et poétique et le pouvoir évocateur ainsi transmit conduit le spectateur à s’interroger sur l’origine du monde physique et de ses processus de transformation.
Andreas Senoner est né en 1982 à Bolzano, en Italie. Il vit et travaille entre Santa Cristina et Florence.
Il a étudié à l’Académie des Beaux-Arts de Florence en Italie et de Valence en Espagne.
Il assiste à des cours de performance et de poésie sonore avec l’artiste Bartolomé Ferrando.
En 2006, il a obtenu une bourse pour le Minneapolis College of Art and Design aux Etats-Unis où il a assisté à des cours de sculpture de Kinji Akagawa, chez qui il a puisé sa technique de sculpture sur bois. Depuis lors, ce matériau deviendra son moyen d’expression principal. qui est devenu une caractéristique permanente dans sa recherche artistique.
Si la sculpture de bois est essentielle chez lui, le dessin est également un moyen d’expression fort pour Andreas. S’interrogeant sur l’Homme en général, Andreas aborde des thématiques tantôt abstraites, tantôt concrètes. La solitude, le détournement d’icônes populaires ou encore le regard des autres sont des thèmes récurrents chez lui.
Depuis son retour en Italie en 2007, il a été invité à montrer son travail dans plusieurs galeries nationales importantes, en France, aux États-Unis, la Serbie et la Suisse. Son travail est présent dans les principales foires d’art contemporain comme la Arte Fiera de Bologne en Italie, le le Scope Basel en Suisse, la Art Fair Art Paris.
Né en 1988 à Santa Fe en Argentine, Alexis Minkiewicz est un artiste bien connu des amateurs d’art contemporain.
Sa production se compose d’un vaste panel de dessins, de sculptures et d’installations, se caractérisant autant par leurs différences que par leurs similarités. Elle est majoritairement guidée par l’exploration de la relation entre la bestialité des corps, leur environnement et la capacité qu’ont ces corps à s’adapter à ce dernier pour survivre. Il utilise la modélisation comme un moyen de contenir ces forces, de reconstruire ces formes et de les suspendre dans l’instant.
Selon lui, dans une oeuvre, la matière est aussi importante que le message, c’est pourquoi il se considère autant comme un artiste qu’un artisan., travaillant le matériau jusqu’à le maîtriser tout en cherchant sa limite.
Lors de l’élaboration de projets dans l’espace en trois dimensions, Alexis étudie l’idée d’une scène, en prenant des références figuratives au-delà de la sculpture : comment ces organismes habitent l’espace ? Comment le corps du spectateur devient un matériau qui peut être déplacé et touché ? Telles sont les interrogations qui s’évadent de l’imagination d’Alexis et qu’il retranscrit dans ses oeuvres.
Né en 1988 à Santa Fe en Argentine, Alexis Minkiewicz est un artiste bien connu des amateurs d’art contemporain.
Sa production se compose d’un vaste panel de dessins, de sculptures et d’installations, se caractérisant autant par leurs différences que par leurs similarités. Elle est majoritairement guidée par l’exploration de la relation entre la bestialité des corps, leur environnement et la capacité qu’ont ces corps à s’adapter à ce dernier pour survivre. Il utilise la modélisation comme un moyen de contenir ces forces, de reconstruire ces formes et de les suspendre dans l’instant.
Selon lui, dans une oeuvre, la matière est aussi importante que le message, c’est pourquoi il se considère autant comme un artiste qu’un artisan., travaillant le matériau jusqu’à le maîtriser tout en cherchant sa limite.
Lors de l’élaboration de projets dans l’espace en trois dimensions, Alexis étudie l’idée d’une scène, en prenant des références figuratives au-delà de la sculpture : comment ces organismes habitent l’espace. ? Comment le corps du spectateur devient un matériau qui peut être déplacé et touché ? Telles sont les interrogations qui s’évadent de l’imagination d’Alexis et qu’il retranscrit dans ses oeuvre▪︎
« Ils »
2016
Port Tonic Art Center
« Origine »
2016
Port Tonic Art Center
« Ils se dice ellos »
2016
Port Tonic Art Center
« No title, tete »
2016
Port Tonic Art Center
« Ramas Haganme »
2016
Port Tonic Art Center
« Ils »
2016
Port Tonic Art Center
« Ils »
2016
Port Tonic Art Center
« Ils »
2016
Port Tonic Art Center
« Ils »
2016
Port Tonic Art Center
« Debut »
2016
Port Tonic Art Center
« Ils »
2016
Port Tonic Art Center
« No title »
2016
Port Tonic Art Center
« No title »
2016
Port Tonic Art Center
« No title »
2016
Port Tonic Art Center
Sans titre
2016
Port Tonic Art Center
Né en 1983 à Buenos Aires, Santiago O Rey étudie tout d’abord la littérature à l’Université de Buenos Aires de 2002 à 2005, avant de se tourner vers les arts visuels à l’IUNA spécialisation peintures, de 2006 à 2009. Depuis 2011, il participe à la Clinique des Oeuvres coordonnée par Diana Aisenberg
Parmi les expositions auxquelles il a participé, on dénombre « El complot de la cosas amables » (2011) et «Monos Chromos» (2012) sur « la Isla Flotante ». En 2013, il réalise sa première exposition individuelle « Los días en el mar no cuentan » (Les jours en mer ne comptent pas) sur « la Isla Flotante » également. L’année suivante, il participe à la résidence d’artistes « Siete artistas, siete puntos de vista » dans la Ville des artistes de Cordoue et à l’exposition « Mecánico de día » avec Alexis Minkiewicz au Zavaleta Lab. En 2015, il réalise plusieurs oeuvres publiques en coordination avec la ville de Buenos Aires et le « Museo de la Ene ».
La diversité culturelle est, comme on peut le voir dans ses oeuvres, un thème cher à Santiago, de même que le détournement d’icônes populaires. Cet artiste engagé voyage au-delà des frontières afin de trouver les inspirations qui lui correspondent, internationales▪︎
« Loup »
2016
Port Tonic Art Center
« Falopa »
2016
Port Tonic Art Center
« Hybrido »
2016
Port Tonic Art Center
Né en Corée, E Hyunjoon étudie l’art tout d’abord à Séoul, puis à Nottingham et Londres en échange universitaire.
Se spécialisant très tôt dans la sculpture, son style prend sa source en Europe, mais également en Asie, où il réside. Alternant les expositions entre Londres et Séoul, cet artiste affirme son style moderne et décalé. Détournant des objets du commun ou s’inspirant des graffitis, E Hyunjoon ne cache pas son côté urbain. Récemment, on peut assister à un retour aux traditions, aux mises en scène d’animaux, en particulier le chien, animal qui lui est très cher et qu’on retrouve souvent dans ses réalisations ▪︎
« Vivier Gallo »
2016
Port Tonic Art Center
« Vivier Gallo 2 »
2016
Port Tonic Art Center
« A Gallo »
2016
Port Tonic Art Center
« Vivier Gallo (Model) »
2016
Port Tonic Art Center
« Vivier Gallo 3 »
2016
Port Tonic Art Center
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FNBF
Une cinquantaine d’oeuvres d’art exposées, sur 5000 m2, entre ciel et terre, dans un ancien chantier naval situé sur la Corniche des Issambres, baigné de lumière et traversé par le mistral.
Trois plateaux à découvrir, le premier réservé aux oeuvres monumentales: Richard Hudson, Arman, Dali, Wim Delvoye, Rotraut, Philippe Perrin etc…Un show room, à quelques marches plus bas où se côtoient le très coté Tomas Saraceno, le presque vainqueur du Prix Marcel Duchamp Théo Mercier, la poétique Flavie Audi de la banque du même nom, ou encore l’ex femme d’Yves Klein Nikki de Saint-Phalle, exposée cette année au Grand Palais. Enfin, présence significative du musée virtuel saoudien BASMOCA, illustrant la dimension internationale et novatrice de ce lieu.
Créé en 6 mois par 3 passionnés aux compétences parfaitement complémentaires: Le banquier Paolo, le collectionneur ultra connecté Michele et le juriste à la tête de l’association qui gère les activités et destinations de PTAC: Xavier. Un trio solide pour une ouverture réelle à l’art contemporain.
http://www.globaltv-sainttropez.tv/PORT-TONIC-ART-CENTER-Visite-guidee_v1084.html
Tonic d’abord grâce aux trois initiateurs du projet: Michele, Paolo et Xavier. Tonic ensuite car Lieu d’Art Contemporain situé entre ciel et mer, Tonic enfin car la visite se termine ou se commence…avec un shot de Vodka! Ambiance détendue et ouverte dans cet ancien chantier naval reconverti en Lieu d’exposition et de vie pour les artistes, à raison de 3 par an venant de 3 continents différents. Cinq mille mètres carrés consacrés à des oeuvres monumentales ou plus petites, flattées par le vent et sublimées par la lumière du Sud. Lieu de démocratisation ouvert aux collectionneurs certes mais aux écoles, aux centres aérés, aux passionnés, aux curieux. Balade récréative et éducative à faire depuis Saint-Tropez ou d’ailleurs, en admirant et l’architecture des bâtiments et les artistes exposés. A tout heure du jour et de la nuit…
http://www.globaltv-sainttropez.tv/Coup-de-foudre-aux-Issambres-Port-Tonic-Art-Center_v1082.html
Designer coréenne née en 1985, diplômée de l’université Hongik et de Royal College of Art à Londres, qui vit et travaille à Londres et à Séoul. Son projet « Frozen » a été pour la première fois présenté dans le cadre de son MA en 2012 avant d’être développé par la suite à travers plusieurs collections et exposé à l’occasion des festivals de design tels que Dutch Design Week, Milan Design Week, London Design Festival et Miart à Milan.
Dans ses séries « Frozen » Lee Jung In exploite un nouveau procédé de création en combinant des procédés industriels avec de la fabrication manuelle et en associant de différents matériaux, notamment la jesmonite. Ce dernier matériau est semblable à de la pierre dans son aspect esthétique mais composée de plâtre et de résine acrylique, ce qui le rendre propice au moulage.
A l’instar d’origamis, chaque pièce de « Frozen » est ingénieusement pliée pour obtenir des formes insolites et irrégulières. Chacune constitue une pièce unique.
Solar Center, 2011 , ballons pvc, cordes nylon, air, Pièce unique. Installation solaire, un des thèmes de prédilection de l’auteur qui nous fait vivre une expérience poétique et proche de science-fiction entre les rayons noirs de son Solar Center.
Fluid Ether 2, 2015, verre soufflé, or et argent fin
Les sculptures de Flavie Audi allient sensualité, spiritualité et mystère visuel tout en invitant le spectateur à se livrer à un acte de médiation exceptionnel.
Pour créer certaines de ses œuvres dont Fluid Ether 2, l’artiste a recours à son procédé spécifique d’incorporation de l’or ou de l’argent dans le verre soufflé.
2015, verre soufflé
Les sculptures de Flavie Audi allient sensualité, spiritualité et un certain mystère visuel, tout en invitant le spectateur à se livrer à un acte de médiation exceptionnel.
Inspirées par l’univers et des phénomènes célestes, les supernovas en verre soufflé jouent avec la couleur et la transparence. Par ces objets aussi splendides qu’énigmatiques la créatrice nous invite à nous intéresser avec elle au mystère de la vie et de la matière.