






























Fluid Ether 2, 2015, verre soufflé, or et argent fin
Les sculptures de Flavie Audi allient sensualité, spiritualité et mystère visuel tout en invitant le spectateur à se livrer à un acte de médiation exceptionnel.
Pour créer certaines de ses œuvres dont Fluid Ether 2, l’artiste a recours à son procédé spécifique d’incorporation de l’or ou de l’argent dans le verre soufflé.
2015, verre soufflé
Les sculptures de Flavie Audi allient sensualité, spiritualité et un certain mystère visuel, tout en invitant le spectateur à se livrer à un acte de médiation exceptionnel.
Inspirées par l’univers et des phénomènes célestes, les supernovas en verre soufflé jouent avec la couleur et la transparence. Par ces objets aussi splendides qu’énigmatiques la créatrice nous invite à nous intéresser avec elle au mystère de la vie et de la matière.
Yellow Cow , photo, 58 x 82 cm
Pour parler de notre monde matérialiste à l’outrance, Mater joue avec l’image de « la vache jaune, de couleur vive et plaisante à voir» évoqué dans le Coran qui devient métaphore pour tout ce qui devient à nos yeux tellement désirable et précieux qu’on en devient obsédés, pour ne se rend compte que plus tard d’avoir été dupe.
Yellow Cow , photo, 58 x 82 cm
Pour parler de notre monde matérialiste à l’outrance, Mater joue avec l’image de « la vache jaune, de couleur vive et plaisante à voir» évoqué dans le Coran qui devient métaphore pour tout ce qui devient à nos yeux tellement désirable et précieux qu’on en devient obsédés, pour ne se rend compte que plus tard d’avoir été dupe.
Yellow Cow , photo, 58 x 82 cm
Pour parler de notre monde matérialiste à l’outrance, Mater joue avec l’image de « la vache jaune, de couleur vive et plaisante à voir» évoqué dans le Coran qui devient métaphore pour tout ce qui devient à nos yeux tellement désirable et précieux qu’on en devient obsédés, pour ne se rend compte que plus tard d’avoir été dupe.
Le Mauvais œil, 2009, Polystyrène résiné, œil plexiglas, 100 x 40 x40 cm, pièce unique
Fidèle à son intérêt pour le bizarre et le macabre et faisant preuve de son sens d’humour noir, Théo Mercier nous présente sa vision (en polystyrène résiné et plexiglas) de ce pouvoir maléfique qu’on dit logé dans le regard d’une personne envieuse ou jalouse des autres. Ou serait-ce un talisman pour s’en protéger ?
Né en 1981 en Corée du Sud et diplômé de l’université Hongik où il a fait les études de design et d’art du métal, Lee Kwang Ho vit et travaille à Séoul.
A la question de savoir s’il se définit lui-même plutôt comme designer ou artiste, il répond qu’il aime bien se voir comme celui qui « fabrique des choses » ; au lieu d’expliquer ses créations, il préfère laisser l’objet agir sur le spectateur qui pourra, à son tour, lui attribuer la fonction qu’il souhaite. Dans sa création, il commence à travailler en partant plutôt de matériaux (et non d’idées) par lesquels il se laisse inspirer. Il expérimente aussi bien des matières plastiques, PVC, polystyrène que des métaux et techniques traditionnelles. Il détourne les objets du quotidien de leur fonction prédéfinie pour leur donner de nouvelles significations et il aime décliner ses objets en série.
Il s’est fait connaître en 2010 pour sa série de mobilier en tubes de PVC souples entremêlés et tressés portant le nom « Obsession » , suivie, en 2014, par la série « New armor » de mobilier à structure en bronze recouverte de traditionnelle laque Ottchil et par la série « The moment of Eclipse » de tables en cuivre avec des dessus en authentique émail coréenne.
Né en 1981 en Corée du Sud et diplômé de l’université Hongik, Hwang Hyung Shin est un designer coréen montant qui vit et travaille à Seoul. Dans son approche il réunit les aspects pratiques à la valeur artistique ce qui lui permet de retravailler des objets d’usage quotidien dans une esthétique sculpturale en en faisant les objets d’art. Il a crée notamment des séries de meubles en panneaux superposés en polypropylène façonnés à chaud pour obtenir des formes insolites. Ses créations ont été présentées dans une trentaine d’expositions à travers le monde.
Né en 1954 à Minneapolis, Joseph Havel est un artiste, sculpteur américain, installé à Houston Texas, où il est également le directeur de Glassell School of Art. Il travaille notamment le bronze et la résine et est connu avant tout pour ses colonnes de livres sans fin et ses sculptures d’objets figés dans la résine.
Né en 1963 à Argenteuil, Stéphane Belzère-Kreienbühl est un artiste franco-suisse, fils du peintre et graveur Jürg Kreienbühl.
Après des études à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Stéphane Belzère-Kreienbühl s’installe à Berlin. Dans les années 1990, il débute une collection de bocaux alimentaires en verre, il travaille au muséum d’Histoire Naturelle où il peint une collection de bocaux anatomiques. Ses bocaux mêlent ainsi la matière organique et la matière picturale, dont le verre apporte translucidité aux couleurs, tel un vitrail.
Stéphane Belzère-Kreienbühl a également réalisé de longs tableaux, dont l’abstraction presque anamorphique fait penser à des paysages glaciaires ou des scènes oniriques dépouillées.
Né en 1932 au Brésil, Nelson Leiner est un des plus renommés des artistes brésiliens nés du mouvement de l’art conceptuel du XXème siècle au Brésil. Il s’est fait connaître en 1967 pour sa série «Hommage à Fontana » de tableaux-multiples industriels de tissus fendus munis de fermetures-éclairs.
À partir des années 80, sa production artistique s’est concentrée sur des arrangements d’objets manufacturés ainsi que sur des collages. Dans son œuvre, il s’intéresse aux problèmes de notre monde globalisé et il fait preuve de forte conscience critique ainsi de sens de dérision.
Après avoir été ingénieur dans l’industrie de la fibre optique pendant plus de trente ans, Luc Lapraye effectue un changement de carrière radical pour se tourner vers l’art.
Privilégiant le minimalisme et l’épurement, le travail de Luc Lapraye joue, tout en les court-circuitant, les mécanismes du marché de l’art et organise une nouvelle lecture du monde de l’art contemporain.