Antonio Della Guardia (1990) vit et travaille à Naples. Il développe une recherche sur l’impact des formes contemporaines de travail sur le corps, sur les processus cognitifs et sur les sphères les plus intimes de notre vie privée, en identifiant leurs signes et, en même temps, en imaginant des formes poétiques et des stratégies d’émancipation partagée. Parmi ses expositions personnelles : Per un prossimo reale, Fondation Pastificio Cerere, Rome (2021) ; La luce dell’inchiostro ottenebra, Galerie Tiziana Di Caro, Naples (2018) ; Index, Studioconcreto, Lecce (2018). Parmi les expositions collectives : Una boccata d’arte, Fondation Elpis, Morgex (2022) ; Burning Speech, Fondation Sandretto Re Rebaudengo, Turin (2021) ; There is no time to enjoy the sun, Fondation Morra Greco, Naples (2021) ; The corrosion of character, l’uomo flessibile, Izolyatsia Platform for Cultural Initiatives, Kiev (2019) ; Samoupravna interesna zajednica u galeriji waldinger, Galerie Wladinger, Osijek (2018) ; Mind the gap, Association Barriera, Turin (2018) ; Sensibile comune, le opere vive, Galleria Nazionale d’Arte Moderna e Contemporanea, Rome (2017) ; Disio, nostalgia del futuro, La Caja, Caracas (2017). En 2016, il a été artiste en résidence à la Fondation Antonio Ratti de Côme.